On assiste à une mascarade de libéraux débordés sur leur droite qui essaient de reconquérir un électorat pour les échéances électorales de 2019 et 2020.
Pour autant les réformes en cours et celles misent œuvres sont inacceptables et dangereuses pour les populations et l’économie locale.
La participation des représentants des petites et moyennes entreprises au collectif contre le « PPP école » à Marseille illustre bien la nocivité de ces choix et les convergences possibles.
Le point sur la situation :
Journée des Régions de France, au Pharo à Marseille, rencontres des élus et des maires pour réclamer plus de compétence et une nouvelle réforme touchant aux périmètres de compétences des collectivités locales.
Pourquoi pas mais alors posons tous les paramètres du problème : De quelles compétences doit–on doté chaque collectivité de la Commune à la région en passant par les intercommunalités ?
Il me semble que la précédente réforme avec les lois NOTRe et Maptam. Ces questions devaient être régler une fois pour toute ?
Et bien non,
Loi Maptam, premier volet de la réforme territoriale
Promulguée le 7 août 2015, la loi portant sur la Nouvelle Organisation Territoriale de la République (NOTRe) confie de nouvelles compétences aux régions et redéfinit clairement les compétences attribuées à chaque collectivité territoriale. Il s’agit du troisième volet de la réforme des territoires, voulue par le président de la République, après la loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles et la loi relative à la délimitation des régions.
Le volet financier est resté en rade !
On le voit et on le vit au quotidien sur l’aire Métropolitaine Aix-Marseille : Ni les financements ni les critères sont au rendez-vous. Ils ont éloigné les citoyens des centres de décisions sans apporter les réponses et l’efficacité nécessaire aux services publics.
Prochain article : fiscalité « deux poids et deux mesures »