Pour certains, manne foncière pour spéculer et s’enrichir, le territoire du GPMM* est au cœur des enjeux foncier et économique de Marseille.
Qu’en pensent les acteurs du port ?
Quel rôle joue l’Etat ?
La constitution de la Métropole renforce les pressions qui visent à éloigner toujours plus loin les activités portuaires.
L’idée de rendre le littoral aux marseillaise et marseillais est un attrape Gogo pour retourner l’opinion public afin d’obtenir l’adhésion des gens pour de nouveaux projets immobilier sur l’emprise foncière du GPMM pour des investisseurs privés.
Mais que souhaitent « les Progressistes » de notre cité marseillaise ?
Avec QcM nous allons solliciter ceux et celles qui ont « Marseille au Cœur, un Cœur Populaire » pour avec eux redécouvrir le port et formuler des propositions !
- : *Le Grand port maritime de Marseille, (GPMM) précédemment connu comme « port autonome de Marseille » (PAM) est un établissement public de l’Étatfrançais, qui exerce conjointement des missions de service public administratif et des missions de service public à caractère industriel et commercial, et dont la tutelle de l’État est exercée par la Direction générale des infrastructures, des transports et de la mer7 du ministère de l’écologie, du développement durable et de l’ÉnergieIl a le statut de grand port maritime et est donc géré comme un établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC). Il est chargé d’exploiter, de gérer et de promouvoir les installations portuaires de Marseille à Fos-sur-Mer.
Lors du bilan de l’année 2014, en termes de trafic total de marchandises, avec 78 520 233 tonnes traitées, c’est le premier port français (et le second en EVP), le deuxième port de Méditerranée8 et le cinquième port européen9. En 2013, il était le cinquante-et-unième port mondial4. Il dispose de la plus grande forme de radoub de Méditerranée, la forme 1010. La tendance de son activité, globalement à la baisse depuis la crise économique mondiale de 2008, consiste en une réduction du transport d’hydrocarbures et de passagers en ferries, et une augmentation du transport de conteneurs et de croisiéristes.