A l’ONU le bal des faux culs a pratiqué la « novlangue » pour verdir leurs intentions sans prendre d’engagements concrets hormis les écrits de la 21e Conférence des parties (COP) conférence de paris de 2015.
Une fois de plus les pays en développement qui pèsent 6.8% des émissions mondiales de gaz à effet de serre ont annoncé des engagements.
Sans rire, il nous reste que notre capacité d’initiative et le travail en commun pour engager des alternatives locales qui se conjugueront pour donner des résultats.
COP21, COP22, COP23, COP24… Le Groupe intergouvernemental d’experts sur le changement climatique (GIEC) a rendu le 8 octobre dernier (à la veille de la COP24) un 5e rapport alarmant sur le climat. Pour autant, selon le GIEC lui-même, 50 à 70% des mesures d’atténuation et d’adaptation aux changements climatiques se situent à l’échelon local. Toutes et tous, nous avons donc une grande responsabilité quant à l’avenir de notre Planète vis-à-vis des générations futures…