Présent sur place dès le matin, j’ai vraiment pris la mesure du désastre en rencontrant les habitants toute l’après-midi.
Cette catastrophe n’est pas programmable ni prémédité mais elle est une conséquence direct d’une mauvaise politique urbaine qui privilégie la spéculation à la rénovation du patrimoine public pour produire du logement social et des équipements publics.
On n’a pas encore la mesure exact de l’étendu de la catastrophe : au plan humain le pire est peut-être devant nous et socialement la vie de nombreux résidents et commerçant est lourdement fragilisée.
La politique de gentrification de la majorité municipale engendre des dégâts collatéraux !
Après une journée éprouvante j’ai regardé un citronnier phénoménal et sauvage pour reprendre du moral et des forces.
Le combat pour autre développement est devant nous !