Suite à la présentation de l’étude de l’Agence d’Urbanisme de Marseille sur les » Îlots de Chaleur » urbain je confirme que ce n’est pas fatal et que malgré les dérèglements climatiques on peut aménager différemment le territoire afin d’en limiter les impacts.
Je vous invite à lire l’article de Sylvain Fournier dans la Marseillaise du 2 août 2018 qui traite de cette question importante.
Pour mémoire je développe dans « Rêver Marseille, Pour un autre Développement » aux éditions Gaussen, tout un chapitre sur la place de l’eau et les politiques publiques qu’il faudrait mettre en œuvre.
Le Problème c’est que la présidente de l’AGAM, Laure Agnès CARADEC, adjointe au Maire, en charge de l’urbanisme à la Métropole parle d’or sur le sujet mais approuve et développe des politiques du tout béton et une urbanisation de la ville qui minéralise les espaces.
Il en est de même pour la place des fontaines dans l’espace public. Pour prendre la dimension du problème et de l’hypocrisie de la majorité municipale et métropolitaine regarder le Parcours des fontaines réalisé par l’association le MNLE