En France on joue, au deuxième tour, la place des propositions alternatives portées par les candidats du Front de Gauche et en Grèce l’arrivée au pouvoir de la même vision du social et de la construction européenne.
Nous avons été sous la pression des sondages et des initiatives pour peser sur l’opinion pendant la campagne afin d’organiser et encourager le vote utile vers les candidats PS et la majorité Présidentielle. Espérons que nos amis et camarades Grecs déjouent les pressions des leaders européens qui ne sont pas favorable à leur programme.
Dimanche 17 juin, un nouveau parti pourrait bien accéder au pouvoir. Syriza, la coalition de gauche radicale devenue deuxième force du pays lors du scrutin du 6 mai avec 16,8% des voix, est donnée en tête par une enquête d’opinion pour le quotidien Kathimerini à 31,5%, largement devant Nouvelle démocratie (25,5%).