La Maire de secteur accueille l’association AFNR et l’Historien qui pilote la reconstitution de cette tragédie qui mets en évidence la cupidité des marchands comme point de départ de l’épidémie qui a décimé la moitié de la population marseillaise.
Si, dans son histoire, Marseille a été touchée plusieurs fois par la peste, l’épidémie de 1720 est celle qui aura laissé le plus de traces. 40 000 Marseillais meurent de la maladie, soit la moitié de la population de l’époque. Pendant très longtemps, la responsabilité de l’épidémie a été octroyée au Grand-Saint-Antoine, un navire en provenance de Syrie