Face aux menaces de fermeture qui pèsent sur le Centre Paul Paret , un comité de soutien a été créé, associant usagers et professionnels des centres, et administrateurs mutualistes.
Son Président d’honneur est le Dr Jacques DELAUBIER, avec le soutien de Jean-Marc COPPOLA, élu à la Mairie du 15è-16è arrondissement et Vice-président du Conseil Régional et André MOLINO, maire de Septèmes.
Le comité de soutien alerte toutes les personnes et les institutions des dangers qui pèsent sur les réalisations sanitaires mutualistes et engage le combat avec toutes les forces disponibles
– pour demander la mise en place rapide d’une table ronde au sein de l’Agence Régionale de Santé regroupant le Conseil Régional, le Conseil Général, les Mairies, la CPAM, les Gestionnaires mutualistes et les Syndicats des personnels, afin de débloquer d’urgence des financements publics
REJOIGNEZ LE COMITE DE SOUTIEN ET SIGNEZ LA PETITION ! : http://www.comitepaulparet.sitew.com/ comitepaulparet@free.fr
11 mars 1963 – 11 mars 2011
Notre système de protection sociale est en grand danger. Le gouvernement porte une lourde responsabilité dans cette situation, par la restriction des ressources affectées à la santé. Il en résulte des difficultés grandissantes que rencontre une grande partie de la population pour se soigner : 1 personne sur 4 renonce aux soins.
Dans ce contexte qui touche les hôpitaux, la Sécurité Sociale (fermeture programmée du centre de sécu de La Gavotte et de St-Henri) et la médecine libérale, des menaces économiques réelles pèsent sur notre entreprise mutualiste et en particuliers sur les centres de santé et la clinique de Bonneveine.
Le centre Paul Paret a ouvert ses portes le 11 mars 1963, résultat d’un partenariat historique entre des médecins et le mouvement mutualiste, pour répondre aux besoins de santé de la population, en permettant d’abord l’accès aux soins pour tous, puis en développant , ensuite, de multiples actions de prévention (amiante et autres maladies professionnelles, dépistage des cancers, Bébé vision).
Les Mutuelles, sommées de se comporter comme des assurances privées sont aujourd’hui en difficultés pour financer à elles seules, le réseau d’œuvres sociales du département, d’autant qu’un patient sur 2 qui consulte dans ces structures n’est pas mutualiste.