Le jeu de rôle entre agences de notations et affairistes qui spéculent sur les monnaies et les actions en bourse poussent les entreprises à la faillite mais aussi les états et les populations.
Les contribuables de chaque nation deviennent les otages de ce système capitaliste qui reporte sur les peuples et les finances publiques leurs dettes .
François Hollande ne doit pas céder aux sirènes du libéralisme en imposant, à minima, au G8, des mesures de type « keynésiennes »* pour relancer la croissance et l’emploi en France.
Les candidats du Front de Gauche portent des propositions beaucoup plus forte que vous aurez l’occasion de débattre pendant la campagne des législatives. Vous pouvez d’or et déjà les retrouver dans le programme « L’Humain d’abord » : humain_dabord
*John Maynard Keynes : (/keɪnz/, 5 juin 1883 – 21 avril 1946 (à 62 ans)) est un économiste britannique de notoriété mondiale, reconnu comme le fondateur de la macroéconomie moderneNote 1, pour lequel les marchés ne s’équilibrent pas automatiquement, ce qui justifie le recours à des politiques économiques conjoncturelles. Le keynésianisme, la nouvelle économie keynésienne, le néo-keynésianisme ou le post-keynésianisme plus interventionniste sont des concepts et des courants de pensée issus de l’œuvre de Keynes.
Considéré comme l’un des plus influents théoriciens de l’économie du XXe siècle1, Keynes, en tant que conseiller officiel ou officieux de nombreux hommes politiques, fut l’un des acteurs principaux des accords de Bretton Woods.