Entrave à l’expression politique dans le troisième arrondissement de Marseille. A qui profite le « crime » ?

Ce qui vient de se passer avec l’agression de militants socialistes dans le troisième arrondissement de Marseille est suffisamment grave pour que nous en condamnions les actes mais aussi les atteintes à la démocratie et à l’expression des forces politique dans leur travail militant de conviction et d’explication.
Le climat délétère qui voudrait s’imposer à nous à qui profit-il ?
L’extrême Droite et la Droite Marseillaise, chacune à sa manière, ont besoin de ce climat pour masquer leurs échecs ou insuffisances.
Les premiers n’ont rien à proposer comme alternative au système économique qui est à la base de la crise économique et  d’un  chômage générateur de mal vivre. Cette insécurité sociale nourrie les arguments permettant d’opposer les gens entre eux en stigmatisant telle ou telle catégorie de la population.
Plus de confusion leurs donnent  des arguments pour justifier « Tous Pourri » ce qui  fait le miel de l’extrême droite et de ses représentations politiques.
A Droite, le nombre d’affaires est tel que les changements de ministre ne masquent plus l’ampleur du chantier juridique qui occupera dans la décennie avenir les juges et magistrats.
A Marseille, il y a tellement « d’Iznogoud » pour remplacer le Calife qu’ils espèrent  bénéficier de diversion telles les affaires judiciaires en cours contre des notables de gauche ou les bavures de campagne pour masquer leurs propres divisions et problèmes.
Pour notre part nous poursuivrons le rassemblement du peuple pour transformer la colère en luttes, les luttes en suffrages  pour battre dans les urnes et par le vote la Droite et l’Extrême Droite.
Ici ou ailleurs, Il n’y aura  pas de quartiers réservé ou de zones de non droit politique.