Merci à jean Claude Cauvin qui sans passion et mesure a permis d’aborder la question du nucléaire en apportant des réponses techniques et politiques.
Félicitation aux camarades du PC et au Front de Gauche pour cette initiative.
Le travail engagé par le Front de Gauche sur les questions énergétique et la proposition d’organiser un véritable débat national avec un vote référendaire permet de dépasser les crispations sur « Nucléaire ou pas » !
En même temps nous devons nous sortir de la seule approche électrique pour aborder les questions énergétiques.
Nos échanges ont permis de se poser la question de quelle développement, quelles politiques industrielles et agricoles pour y répondre avec quels moyens énergétiques ?
Sortir de l’ère des énergies carbonés redevient une réponse qui trouve des applications concrète sur un territoire comme St Maximin : réouverture rapide de la ligne ferroviaire Carnoules-Gardanne, réduire le nombre poids lourds sur la route, développer l’introduction dans l’habitat de réponses alternatives en terme de chauffage, d’eau chaude sanitaire, d’isolation thermique et phonique…
Le développement des énergies renouvelable est nécessaire mais pas moins que le maintien de grand moyens de productions pour satisfaire les besoins humain et pas ceux des marchés financiers.
Oui, la production et la distribution de l’énergie doit revenir sous contrôle publique pour en assurer les développements par la recherche et la sureté sans concession sur les moyens pour l’assurer.
On est reparti les batteries chargées pour construire un vote alternatif au premier tour de la présidentielle en votant un programme et pas seulement un Homme tout en confirmant que cela passera par le Bulletin Mélenchon !!!
Un autre rendez a été pris : le 10 décembre à ST Tulle pour travailler et agir ensemble sur les questions de la ressource en eau.
« Le développement des énergies renouvelables est nécessaire mais pas moins que le maintien de grands moyens de production pour satisfaire les besoins humains et pas ceux des marchés financiers. »
Une phrase qui, à elle seule, permet, à la perfection, de résumer l’enjeu des questions sur le rapport de l’homme à son environnement et la nécessité d’en contrôler les effets dévastateurs. Dans cette phrase, l’accent est mis sur l’humain c’est-à-dire sur le politique -dans le sens noble- (fondement de l’économique devant lequel il ne doit pas démissionner) avec la nécessaire satisfaction des « besoins humains ». C’est bien de l’humain dont il est question et c’est aussi sur cette base qu’il conviendra -sans doute, aussi- d’à nouveau penser l’humain pour, justement, en définir les besoins véritables, peut-être pas toujours ceux vers lesquels notre société de masse et de consommation effrénée nous pousse comme mécaniquement.
Nous sommes tout à fait d’accord, il faut produire et consommer autrement pour un autre développement au service de l’Humain !