L’émission de ce soir montre comment les industriels préfèrent culpabiliser le consommateur, plutôt que remettre en question leurs modèles.
Le plastique, c’est increvable. C’est sa principale qualité mais pas son moindre défaut, on en produit 10 tonnes chaque seconde dans le monde et l’addiction que nous avons développée à son endroit depuis sa généralisation dans les années 1950 a des conséquences désastreuses tant pour l’environnement que pour notre santé.
« Pour traiter ce sujet très en vogue, le numéro de rentrée de « Cash Investigation » – intitulé « Plastique, la grande intox » et ce diffusé mardi 11 septembre à 21 heures sur France 2 – ne se limite pourtant pas à ce constat simpliste. Au-delà des images-chocs d’une nature défigurée partout dans le monde par les déchets de plastique, le reportage de Sandrine Rigaud s’attache surtout à démontrer avec quel génie les industriels ont opté pour une culpabilisation du consommateur, plutôt que pour une remise en question de leurs modèles économiques ultra-productivistes et hautement lucratifs. »