A l’issue du séminaire gouvernemental du 29 avril, Edouard Philippe a présenté un calendrier des réformes pour les trois prochains mois. En ce qui concerne les collectivités territoriales, Sébastien Lecornu a brossé à grands traits comment allaient s’articuler les différents volets. « Statut de l’élu, révision de la loi NOTRe [nouvelle organisation territoriale de la République], « je souhaite que cela puisse être bouclé avant les élections municipales ».
Après la mascarade du compte rendu du grand débat qui ne répond en rien aux attentes de l’ensemble des acteurs. Organisations Syndicales et mouvement des Gilets Jaunes restent mobilisés malgré les provocations du gouvernement et la répression policière préventive instaurée comme la règle pour démobiliser les manifestants.
La pression de la rue garde toute sa pertinence et elle est plus que jamais nécessaire. Nous devons trouver une issu politique en battant ce pouvoir qui de Macron à ses députés dans les territoires portent une pédagogie du renoncement pour nous faire accepter un recul de civilisation afin de protéger les nantis du système du CAC 40 aux MEDEF.
Les élections européennes sont le premier Acte de la reconquête pour les progressistes et la Gauche.
A la proportionnelle avec un seuil de 5% pour élire des représentants au parlement nous devons laisser aucun citoyen au bord du chemin le 26 mai 2019.
Malgré l’absence de volonté de rassemblement et l’hypocrisie de certain qui en parle pour plus tard pour en faire une opération vote utile de type PS nous devrons pour l’Acte II au moment des élections municipale de 2020 nous retrouver pour chasser les marchands du conseil Municipal.
En attendant pour le 26 Mai que tous les progressistes gagnent des élus.
Pour moi je choisi ceux qui sont restés fidèles à leur vote de 2005 en votant contre le traité de MASSTRICHT tout en proposant une autre construction européenne !
Pour moi c’est Ian BROSSAT et sa liste !
* L’expression « coup de Jarnac » désigne un coup violent, habile et imprévu. Il a pris une connotation de coup déloyal ou pernicieux, qui n’existait pas à l’origine. Dans son sens premier et d’escrime, il s’agit d’un coup à l’arrière du genou ou de la cuisse, rendu célèbre par Guy Chabot de Jarnac, qui le porte lors d’un duel judiciaire en 1547 devant le château de Saint-Germain-en-Laye