Traduction en direct de QcM : En direct sur 9 médias au frais des contribuables : je serai candidat plus tard en attendant je puise dans les moyens de la Nation pour vous convaincre que je suis le meilleur ! Mais comme je ne me déclare pas encore officiellement vous allez m’en payer une grande partie de la Campagne !
En en plus, quant il a commencé sont quinquennat il a engraissé les riches et pour finir la mandature il veut nous tondre nous les pauvres, les salariés, les retraités : tous ceux et celles qui des jeunes aux moins jeunes subissent la crise. Seulement 1.6 % de hausse pour la TVA la bonne affaire, c’est autant de pris sur nos revenu pour élargir un peu plus les profits des actionnaires.
Le sondage en direct sur le Quotidien en Ligne le Parisien donnait au moment ou ces lignes se rédigent : 78% des auditeurs pas convaincu par le chef de l’état contre seulement 22 %.
Il y a comme un signe encourageant : l’usage massif des moyens audiovisuels n’est pas suffisant pour convaincre si le message est mauvais et encore moins quant le porteur du message n’est plus crédible.
Réaction de Pierre Laurent :
Sarkozy : « Coup de poignard dans le pouvoir d’achat populaire »
Je suis scandalisé par les annonces de Nicolas Sarkozy ce soir.
Au terme d’un quinquennat qui a poussé le pays dans la récession et saccagé l’emploi industriel, il décide, à quelques semaines des élections, deux énormes nouveaux cadeaux au patronat. Premier cadeau : un allègement de 13 milliards d’euros de cotisations sociales patronales essentiellement payé par une hausse de la TVA, autrement dit un coup de poignard dans le pouvoir d’achat populaire. Second cadeau : la possibilité pour le patronat d’échapper à toute durée légale du temps de travail par le biais d’accord dit de compétitivité. Tout le reste est à l’avenant : matraquage mensonger sur le coût du travail, règle d’or pour les collectivités locales, nouvelle mesure de déréglementation du marché immobilier sous prétexte de crise du logement.
Tout cela n’est que l’énième et dernier coup de force présidentiel. Les privilégiés et les financiers auront été servis jusqu’au bout. Les salariés n’ont plus rien à attendre de ce pouvoir. C’est maintenant à la gauche de construire une alternative solide et le Front de gauche va y consacrer toutes ses forces.