Par Christian PELLICANI
Concernant le taux de Co² dans l’atmosphère il y a un large consensus autour de l’idée que ce sont les activités industrielles de ces 100 dernières années qui ont accéléré la dégradation du climat par l’élévation de la température moyenne sur le globe.
Mais on trouve encore des climato-sceptiques pour justifier la poursuite du système productiviste capitaliste assis sur la surconsommation d’énergie carboné.
Nous avons maintenant un irresponsable à la tête de la première puissance économique du monde qui met en danger l’humanité et l’ensemble des écosystèmes de la planète.
La terre peut exister sans l’espèce humaine. Elle a, depuis sa formation, pendant des millénaires, enfanté de nombreuses espèces qui ont depuis disparu à cause justement des variations brutales du climat liées à des causes naturelles et structurelles de la planète.
Nous sommes la première espèce qui développe ses propres capacités d’auto destruction : l’arme atomique, les armes biologiques mais également les expériences et manipulations génétiques du vivant à des fins commerciales et les rejets massifs de gaz à effet de serre dans l’atmosphère.
La décision historique de Donald TRUMP de retirer les Etats-Unis de la lutte mondiale contre le réchauffement climatique met en danger l’humanité et les espèces vivantes de la planète.
Quelques parts il est l’expression des forces économiques qui ne souhaitent même plus faire semblant en proposant le verdissement du système capitaliste.
Nous ne sommes pas obligés de courber l’échine et accepter cela !
Nous devons porter internationalement et localement des propositions « pour un autre développement ».
(contribution d’Alain Paparone)